Les personnalités présentes au lancement du "Parlement des JO". (photo Guillaume Horcajuelo pour la Région sud)
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En lançant le 3 mars le « Parlement régional des JO 2030 », le président de la Région sud, Renaud Muselier, a souligné l'importance de l’initiative : « Nous avons cinq ans pour tenir notre feuille de route, celle d'organiser des Jeux Olympiques qui soient adaptés à nos deux clusters régionaux, Nice et Briançon. » Ce parlement régional, qui réunira une centaine de personnalités entre mars et juin 2025, a pour mission de rassembler élus, citoyens et acteurs locaux afin de discuter des enjeux cruciaux liés à ces Jeux d’hiver. Les transports, l'impact sur la montagne et la projection du territoire vers 2050 en seront les sujets essentiels.
Ce Parlement vise à créer un espace de dialogue et de concertation qui garantisse un héritage durable pour ces JO 2030. Parmi les invités à la séance d’ouverture, on a noté la présence de sportifs de très haut niveau : Éric Di Meco, héros de la Ligue des champions 1993, Fabrizio Ravanelli, aujourd'hui conseiller institutionnel et sportif de l'Olympique de Marseille, Arthur Bauchet, triple champion paralympique d'hiver et Cyprien Sarrazin, double vainqueur de la descente de Kitzbühel, pour qui Renaud Muselier a demandé une standing-ovation. Le skieur du Dévoluy, s’appuyant encore sur des béquilles, faisait sa première apparition publique plus de deux mois après sa grave chute dans la descente de Bormio. Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation, complétait cet impressionnant parterre.
Ce Parlement vise à créer un espace de dialogue et de concertation qui garantisse un héritage durable pour ces JO 2030. Parmi les invités à la séance d’ouverture, on a noté la présence de sportifs de très haut niveau : Éric Di Meco, héros de la Ligue des champions 1993, Fabrizio Ravanelli, aujourd'hui conseiller institutionnel et sportif de l'Olympique de Marseille, Arthur Bauchet, triple champion paralympique d'hiver et Cyprien Sarrazin, double vainqueur de la descente de Kitzbühel, pour qui Renaud Muselier a demandé une standing-ovation. Le skieur du Dévoluy, s’appuyant encore sur des béquilles, faisait sa première apparition publique plus de deux mois après sa grave chute dans la descente de Bormio. Camille Lacourt, quintuple champion du monde de natation, complétait cet impressionnant parterre.
Un lieu d'échange et de concertation
L'acteur Samuel Le Bihan, qui vit à Nice depuis 6 ans, sera un ambassadeur de cette initiative. Sa série Alex Hugo, tournée dans le Briançonnais, illustre déjà l'attachement de la région à ses paysages et à son patrimoine montagnards : « Montrer nos montagnes à travers ces jeux c’est montrer la beauté de notre territoire. Et je suis pour pousser tout ce qui peut le mettre en valeur. »
Ce parlement régional ne relève pas directement du comité d'organisation des Jeux (Cojop), bien qu'Edgar Grospiron, son président, ait marqué sa présence par une vidéo. La Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), présidée par Renaud Muselier et dirigée par Damien Robert, jouera un rôle clé dans la concrétisation des infrastructures nécessaires. Le lancement officiel de cette société, prévu en avril, marquera une étape décisive dans la préparation des Jeux.
Au-delà des compétitions sportives, les Jeux Olympiques d'hiver 2030 vont offrir la possibilité de repenser le développement durable, l'accessibilité et la valorisation du patrimoine montagnard. C'est la mission du Parlement.
« Si vous êtes aussi nombreux ici, c’est qu’il y a un intérêt, une volonté pour ces JO. On prend les idées de tous », se réjouissait Renaud Muselier en précisant que ce Parlement devra imaginer la montagne de demain pour la laisser en héritage aux générations futures.
Ce parlement régional ne relève pas directement du comité d'organisation des Jeux (Cojop), bien qu'Edgar Grospiron, son président, ait marqué sa présence par une vidéo. La Solideo (Société de livraison des ouvrages olympiques), présidée par Renaud Muselier et dirigée par Damien Robert, jouera un rôle clé dans la concrétisation des infrastructures nécessaires. Le lancement officiel de cette société, prévu en avril, marquera une étape décisive dans la préparation des Jeux.
Au-delà des compétitions sportives, les Jeux Olympiques d'hiver 2030 vont offrir la possibilité de repenser le développement durable, l'accessibilité et la valorisation du patrimoine montagnard. C'est la mission du Parlement.
« Si vous êtes aussi nombreux ici, c’est qu’il y a un intérêt, une volonté pour ces JO. On prend les idées de tous », se réjouissait Renaud Muselier en précisant que ce Parlement devra imaginer la montagne de demain pour la laisser en héritage aux générations futures.